Semaine 47 ! A chaque jour suffit sa peine ...

Semaine impaire, c'était avant .

Avant, je n'avais pas de livraison d'oxygène, les semaines impaires; mais maintenant je suis livrée toutes les semaines .

ALLP 

soustraite !

C'est la mode à l'heure actuelle !

Je tourne 2 pages de mon agenda pour être en bonne position .

Lundi 16  RDV corset Lyon

Mardi 17  "je sais tout, je ne dis rien, si ce n'est que je ne dois pas oublier ma Kiné " 

Mercredi 18 "un seul être me manque et tout est dépeuplé"

Jeudi 19 il faut faire avec et travailler sérieusement avec ma Kiné 

Vendredi 20 ? 

Samedi 21

Dimanche 22

Ephéméride Semaine 47 

http://www.inforadio.fr/fr/communique/ephemeride-semaine-47/2662

Celles et ceux qui ont été des fidèles sur mon blog, doivent se souvenir de mon ami Mickey ... 

http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/11/16/30962687.html

Lundi 16 novembre 

Comments

[jean]

Bonne journée

Jean

[elisabeth]

Bonjour Michèle, tu as de quoi t'occuper l'esprit à autre chose que les tristes événements. Dire que Hollande a failli y passer.... on apprend un peu plus tous les jours sur ces attentats. Il y en aura encore, malheureusement. C'est triste car ce sont des innocents qui sont morts. Bonne soirée.

[Denise]

Bonjour Michèle, voilà une semaine bien chargée... oui, je me souviens de ton ami Mickey qui écrivait dans ton blog de jolis billets.

Douce fin de journée.

Bisous ♥

[Maria-Lina]

Coucou, un semaine qui semble bien occupée... Bise et bon lundi tout doux!

[julie]

Bonjour Michèle. Voilà un programme bien chargé pour cette semaine.

Tiens, je suis allée faire un tour sur le blog de l'ami Mickey. Vois ce que je viens d'y lire. Quand on veut savoir ce qui s'est passé telle ou telle date, suffit d'aller sur son blog.

D'accord, là, c'était au sujet de la bête d'Orléans mais qu'on peut appliquer aux êtres humains. Je retiendrai la dernière strophe. Bises

Venez, mes chers amis,

Entendre les récits

De la bête sauvage

Qui court par les champs,

A l’entour d’Orléans,

Fait un très grand carnage.

L’on ne peut que pleurer

En voulant réciter

La peine et la misère

De tous ces pauvres gens

Déchirés par la dent

D’cett’ bête sanguinaire.



Le pauvre malheureux,

Dans ce désordre affreux,

Pleure et se désespère:

Il cherche ses parents;

Le père, ses enfants,

Les enfants, père et mère.



Qui pourrait de sang-froid

Entrer dedans ces bois

Sans une crainte extrême,

En voyant les débris

De ses plus chers amis

Ou de celle qu’il aime?



L’animal acharné,

Et plein de cruauté,

Dans ces lieux obscurs

Déchire par lambeaux,

Emporte les morceaux

Des pauvres créatures.



Prions le Tout-Puissant

Qu’il nous délivr’ des dents

De ce monstre horrible,

Et par sa sainte main

Qu’il guérisse soudain

Tout’ ces pauvres victimes.