Un peu de ziq ' une petite pub :)
http://www.danalangconteur.com/2014/12/une-petite-pub-pour-soutenir-mon-ami-serge-sommer.html
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" Un voyage parfois aux allures d'un conte philosophique et initiatique, aux limites de la perception humaine,
là où la compréhension laisse place à l'appréhension, le mental à l'intuition, l'intellect à l'émotion,
permettant d'aller plus loin vers d'autres réalités, d'autres sphères de conscience, prenant appui sur sa
propre expérience en corrélation avec les concepts des anciens, sages, philosophes et prophètes mais aussi
la psychanalyse moderne ainsi que la physique quantique, toujours avec un naturel et une spontanéité qui rend
le récit abordable. Une vue globale et poétique de la vie au-delà du temps, à travers l'instant de création,
là où l'être et le non-être ne font qu'un, et partager lumière et harmonie de l'univers ici et maintenant,
après s'être brûlé d'un peu plus près aux portes de l'enfer, comme une bulle de savon au-dessus de l'océan... "
"Autopsie du silence est un témoignage peu banal d’une tranche de vie à travers les silences et les non-dits, l’abandon et la solitude, l’alcool et la drogue, les peurs et les coïncidences, la recherche d’idéaux et la quête de reconnaissance. Ce soir j’ai 35 ans et je me souviens. Mon père a quitté la maison lorsque j’avais huit ans sans donner signe de vie. Ma mère était aimante et étouffante. À l’âge de dix-sept ans, elle me présenta un ancien copain à elle, qui se révéla être mon véritable père... Peu après nos retrouvailles, nos liens se dissipèrent de nouveau. Je sombrai dans l’alcool et la drogue. Cette partie de ma vie fut une succession d’événements à la fois marquants et formateurs : ma rencontre avec la femme que j’épouserai, le rejet de ma belle-famille, la naissance de mes enfants, l’alcool toujours, un déménagement, un nouveau départ, la recherche de mon vrai père pour me réconcilier avec lui, la révélation de son homosexualité et de sa séropositivité, la rencontre avec ma grand-mère paternelle qui décèdera trois semaines plus tard, comme si elle m’avait attendu...."